Ces traductions avaient en général pour objectif, de critiquer l’islam bien qu’il existât des gens plus impartiaux qui essayèrent de produire un travail scientifique comme Juan Alfonso de Segovia, théologien et religieux espagnol, né en 1395, qui fit ses études à l'université de Salamanque et fut nommé représentant du roi de Castille.
Avec l’aide d’un chercheur musulman, il entreprit la traduction du Coran en espagnol puis en latin. Une fois sa traduction terminée, il envoya un exemplaire au Vatican et un exemplaire à la bibliothèque de l'université de Salamanque mais aucun exemplaire complet n’existe actuellement.
En 2009, seuls quelques versets qu’il avait traduits ont été retrouvés dans une série d’écrits qui lui sont attribués ainsi que des rapports sur ses discussions idéologiques avec les musulmans.