Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres s’est dit atterré par les frappes sur le camp de Jabaliya, ciblé mardi et mercredi par des frappes israéliennes.
Le Haut commissariat aux droits de l’homme de l’ONU a estimé mercredi soir que ces bombardements pourraient constituer des crimes de guerre compte tenu du nombre élevé de victimes civiles et l’ampleur des destructions.